Les avantages pour le territoire

Une filière au cœur de la transition énergétique

 

Nous sommes au stade de la réflexion et nous restons ouverts à toute réflexion autour de ce projet

Des bénéfices économiques pour le territoire

CVE Sud Sarthois va générer des retombées économiques pour de nombreux acteurs du territoire

L’activité du site, la maintenance, le transport et l’épandage soutiendra l’économie locale

Des taxes annuelles seront reversées localement aux collectivités, contribuant ainsi au développement du territoire

La création de plusieurs emplois qualifiés et non délocalisables

Des économies annuelles substantielles seront réalisées pour les exploitants agricoles grâce à l’utilisation d’engrais organiques, réduisant ainsi les coûts liés à l’achat d’engrais de synthèse

Une activité qui favorise l’économie circulaire

La création de la filière de valorisation de la matière organique sur le territoire illustre le principe d’économie circulaire.

Elle est à la croisée de 3 métiers :

  • Le traitement des matières organiques
  • La production d’une énergie renouvelable et stockable
    (le biométhane)
  • L’agronomie avec le retour à la terre de l’engrais organique

CVE Sud Sarthois répond aux enjeux énergétiques et environnementaux des territoires et des industriels.

Valoriser localement la matière organique du territoire

Le territoire Sud Sarthois est un territoire agricole et agro-industriel. Ces activités émettent de grandes quantités de matières organiques, peu ou pas valorisées. 

 

Moins d'une heure

C’est le rayon moyen de collecte
de la matière organique en camion.

Jusqu'à 35 000 tonnes/an

C’est la quantité de matière organique que CVE valorisera, provenant d’une grande diversité de gisements locaux.

65 %

Des matières issues du monde agricole

35 %

Des matières issues de sous-produits des entreprises agro-alimentaires du territoire

CVE ne prévoit pas de valoriser de boues de stations d’épuration urbaines.

 

Le biométhane, une source d’énergie renouvelable issue du territoire

Le biométhane produit par CVE Sud Sarthois sera injecté dans le réseau local de distribution ou de transport de gaz.

Ce biométhane pourra aussi être utilisé en mobilité verte comme carburant alternatif renouvelable, puisque Le PETR du Pays Vallée du Loir a pour ambition de mailler le territoire de stations GNV

Nous envisageons de produire en moyenne 260 m3 (mètres cube) de biométhane par heure, et ce, en continu, tout au long de l’année. La production annuelle en biométhane s’élèvera à 25 GWh/an, ce qui correspond à environ 25% de la consommation en gaz de la Communauté de Communes Sud Sarthe (Source : PCAET du PETR Pays de Loir).

 

Un engrais organique et naturel pour les terres agricoles

L’engrais organique bénéficiera aux exploitations agricoles situées dans un rayon d’une dizaine de kilomètre autour du site d’implantation.

À la suite du processus de méthanisation, l’engrais organique est stabilisé. Il est donc moins odorant que les produits qui le constituent, et qui sont parfois épandus à l’état brut sur les terres agricoles.

Un engrais contrôlé

Les caractéristiques de l’engrais sont analysées régulièrement pour assurer la fertilisation la plus adaptée aux plantes et au sol et répondre à des exigences environnementales mais aussi sanitaires élevées

Un fertilisant écologique

En recyclant les éléments fertilisants, nous économisons l’usage d’engrais de synthèse (chimiques) importés chaque année sur l’ensemble de nos exploitations agricoles

Un fertilisant économique

L’engrais produit offrira aux agriculteurs une alternative qui n’est pas sujette aux variations des prix comme le sont les engrais chimiques, dépendant des cours du pétrole ou du gaz

Un fertilisant peu odorant

À la suite du process de méthanisation, l’engrais organique est stabilisé. Il est donc moins odorant que les produits qui le constituent, et qui sont parfois épandus à l’état brut sur les terres agricoles

Un bilan environnemental bénéfique

Crédits photos : PETR Pays Vallée du Loir

CVE Sud Sarthois pourra réduire les émissions de gaz à effet de serre d’environ 9 500 tonnes de CO2 par an (source ADEME), soit les émissions annuelles moyennes de :

  • 2 950 véhicules légers parcourant 15 000 km/an
  • ou 33 poids-lourds parcourant 100 000 km/an

La valorisation locale de la matière organique permettrait de réduire le transport routier de milliers de kilomètres et tonnes de matière.